STAMPA - PRESSE
"Come la grande distribuzione, e in seguito i fast-food, i parchi di divertimenti saranno sottoposti - dopo una serie di prime iniziative sfrenate - a delle condizioni di sviluppo più ristrette. È un'evoluzione che non può sorprendere e che è auspicabile per assicurare una migliore credibilità dei futuri progetti" (Patrick Mathieu, Temps Futur, 1988).
Tabella1. I parchi di divertimenti francesi
Aquitaine Parc de loisirs du bassin d'Arcachon
Auvergne Parc zoologique et d'attraction du PAL
Bourgogne Parc des Gouttes de Thionne
Touroparc La Maison Blanche
Parc récréatif de la Toison d'Or
Champagne-Ardennes Nigoland Dolancourt
Dauphiné Wailbi Rhône-Alpes Aveniéres
Paris - Ile-de-France Eurodisney
La Planète Magique
Mirapolis
Jardin d'Acclimatation Bois de Boulogne
Babyland Château de Villededon
France Miniature (Saint-Quentin-en-Yvelines)
Lorraine Big Bang Schtroumpf Hagondange
Midi-Pyrénées Bois de la Font
Nord - Pas-de-Calais Bagatelle Merlimont
Normandie Le Village enchanté Bellefontaine
Pays de la Loire Papéa Yvré l'Evêque
Parc des Naudiéres
Picardie Parc Astérix Plailly
La Mer de Sable
Parc de Saint-Paul
Le Bois d'Hérouval
Poitou-Charentes Futuroscope
Provence ok Corral Cuges-les-Pins
Eldorado City Châteauneuf-les-Martigues
Mini-France Brignoles
Zygofolis [...]
Parc des miniatures Nice
(Fonte: Maison de la France.)
Gli anni 1989 e 1990 hanno segnato una svolta nella valutazione delle potenzialità dei parchi di divertimenti in Francia. Il Club Méditerranée si ritira da Mirapolis. La Planéte Magique, parco urbano parigino con dei concetti di attrazioni interattive e integrate che utilizza l'immobile della Gaîté-Lyrique non dura che quindici giorni. Il Nautiparc di Chambéry, il più piccolo parco acquatico di Francia, che cominciava a funzionare bene, sfortunatamente ha dovuto chiudere a causa delle inondazioni del febbraio del 1990.
Zygofolis (Nizza) deve soprattutto essere venduto al gruppo inglese che del resto si ritirerà. La cattiva situazione di Zygofolis si è presentata nel 1989 dopo la messa in liquidazione giudiziaria della SPAN - Società del Parco d'Attrazioni di Nizza. Come si è arrivati a questa conseguenza per un parco che si era vantato di essere una "macchina della felicità"?
Si è sviluppata un tre atti:
a) Luglio 1987 : apertura di un parco asciutto e acquatico. Ci si aspettavano almeno 500000 visitatori per il minimo di equilibrio finanziario di un investimento di 350 milioni di franchi francesi detenuto in maggioranza da delle società libanesi.
b) Maggio 1988: nuova partenza con un capitale aumentato che passa a 58 milioni di franchi francesi e che appartiene, fino al 65%, a delle società francesi (Paribas, Caisse des Dépôts et Consignations, Société générale, Société Jean-Lefebvre e il Credito Nazionale). Il pareggio è fissato a 600000 visitatori. Si raggiungerà la quota 450000, con un aumento del 29% rispetto al 1987. Il volume d'affari del 1988, di 53 milioni di franchi francesi, è decisamente insufficiente, tanto più che la situazione finanziaria è rovinosa:
- un indebitamento a lungo termine di 100 milioni di franchi francesi;
- un passivo bancario di 60 milioni di franchi francesi a breve termine;
- titoli insoluti per 15 milioni di franchi francesi, ai quali bisogna aggiungere 20 milioni di franchi di crediti contestati.
c) Sarebbe stato necessario immettere almeno 30 milioni di franchi per evitare la liquidazione. La Città di Nizza si era costituita come garanzia bancaria (40%) con delle banche locali (60%) per il prestito di 100 milioni di franchi presso il Credito Nazionale. Gli azionisti rifiutano di investire nuovi capitali e Zygofolis sarà venduta a un britannico che non troverà un accordo con il gruppo Alton Towers. Tuttavia il parco riapre i battenti nel giugno del 1990 e una gran parte degli investimenti sarà finanziata da una operazione di pignoramento delle attrazioni.

Robert Lanquar, "Les Parcs de Loisirs", edizioni PUF, 1991, p. 46-48
"Comme l'hyper-distribution, puis la restauration rapide, les parcs de loisirs vont être soumis - après une sèrie de premièrs initiatives débridées - à des conditions de développement plus strictes. C'est une évolution qui ne peut surprendre et qui est souhaitable pour assurer une meilleure crédibilité de projets à venir" (Patrick Mathieu, Temps Futurs, 1988).
Tableau 1. Les parcs de loisirs français
Aquitaine Parc de loisirs du bassin d'Arcachon
Auvergne Parc zoologique et d'attraction du PAL
Bourgogne Parc des Gouttes de Thionne
Touroparc La Maison Blanche
Parc récréatif de la Toison d'Or
Champagne-Ardennes Nigoland Dolancourt
Dauphiné Wailbi Rhône-Alpes Aveniéres
Paris - Ile-de-France Eurodisney
La Planète Magique
Mirapolis
Jardin d'Acclimatation Bois de Boulogne
Babyland Château de Villededon
France Miniature (Saint-Quentin-en-Yvelines)
Lorraine Big Bang Schtroumpf Hagondange
Midi-Pyrénées Bois de la Font
Nord - Pas-de-Calais Bagatelle Merlimont
Normandie Le Village enchanté Bellefontaine
Pays de la Loire Papéa Yvré l'Evêque
Parc des Naudiéres
Picardie Parc Astérix Plailly
La Mer de Sable
Parc de Saint-Paul
Le Bois d'Hérouval
Poitou-Charentes Futuroscope>
Provence ok Corral Cuges-les-Pins
Eldorado City Châteauneuf-les-Martigues
Mini-France Brignoles
Zygofolis (le nouveau)
Parc des miniatures Nice
(Source: Maison de la France.)
Les années 1989 et 1990 ont marqué un tournant dans l'appréciation des potentialités des parcs de loisirs en France. Le Club Méditerranée se retire de Mirapolis. La Planète Magique, parc urbain parisien avec des concepts d'attractions interactives et intégrées, utilisant l'immeuble de la Gaîté-Lyrique n'a tenu que quinze jours. Le Nautiparc de Chambéry, le plus petit parc aquatique de France, malchancheux, qui commençait à bien fonctionner, a dû fermer en raison des inondations de février 1990. Zygofolis (Nice) doit surtout être vendu au groupe anglais qui d'ailleurs se retirera. Le syndrome de Zygofolis est présenté en 1989 après la mise en liquidation judiciaire de la SPAN - Société du Parc d'Attractions de Nice. Comment est-on arrivé à cette conséquence pour un parc qui s'était vanté d'être une "machine à bonheur"?
Il s'est déroulé en trois actes:
a) Juillet 1987 : ouverture d'un parc sec et aquatique. On devait atteindre au moins 500 000 visiteurs pour le petit équilibre financier d'un investissement de 350 millions de francs français détenu majoritairement per des sociétés libanaises.
b) Mai 1988 : nouveau départ avec un capital majoré qui passe à 58 millions de francs français et qui qppartien, à hauteur de 65 %, à des sociétés françaises (Paribas, Caisse des Dépôts et Consignations, Société générale, Société Jean-Lefebvre et le Crédit National). La barre est fixée à 600 000 visiteurs. On atteindra les 450 000, soit une augmentation de 29 % par rapport à 1987. Le chiffre d'affaires de 1988, de 53 millions de francs français, est bien insuffisant, d'autant que la situation financière est accablante:
- un endettement à long terme de 100 millions de francs français;
- un passif bancaire de 60 million de francs français à court terme;
- des impayés d'un montant de 15 millions de francs français, auxquels il faut ajouter 20 millions de francs français de créances contestées.
c) Il fallait au moins injecter 30 millions de francs français pour éviter la mise en liquidation. La Ville de Nice s'était constituée caution bancaire (40%) avec des banques locales (60%) pour le prêt de 100 millions de francs français auprès du Crédit national. Les actionnaires refusent d'apporter de nouveaux capitaux et Zygofolis sera vendu à un Britannique qui ne trouvera pas un accord avec le groupe Alton Towers. Le parc rouvre cependants ses portes en juin 1990 et une grande partie des investissements serait financée par une opération d'immobilier de loisirs.
"Les Parcs de Loisirs" de Robert Lanquar (1991, Editions PUF), p. 46-48
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